Madame Bonnetain,
Je viens d'apprendre le décès de Pascal et c'est avec une émotion certaine que je vous écris. J'ai connu Pascal lorsque je travaillais au Foyer les Perrières avant de partir m'installer en Bretagne. Durant mes quatre années de rencontre avec Pascal, j'ai le souvenir d'un homme complexe mais fortement attachant. Des promenades où il cueillait les fleurs et s'arrêtait pour écouter le chant des oiseaux, son sourire malicieux quand il faisait une farce, son appétence pour la peinture, sa découverte du camping en yourte à Bragny sur Saône, ses collections de toute sorte et ses cris, bien sûr, qui signifiaient tellement de choses. Ce sont des moments de vie que je n'oublierai pas.
Je vous présente mes sincères condoléances et pense à vous et votre famille, Cécile.